Nathe Perrone : une approche «connectée aux enjeux du terrain»
Après avoir tenté sa chance dans Bourassa, en 2021, Nathe Perrone se représente aujourd’hui pour le Parti vert du Canada dans Ville-Marie–Le Sud-Ouest–Île-des-Sœurs.
Après avoir tenté sa chance dans Bourassa, en 2021, Nathe Perrone se représente aujourd’hui pour le Parti vert du Canada dans Ville-Marie–Le Sud-Ouest–Île-des-Sœurs.
Le tracé des limites de circonscriptions fédérales fait en sorte que le quartier Milton-Parc est divisé en deux. À l’est de l’avenue du Parc se trouve la circonscription de Laurier–Sainte-Marie. Les citoyens à l’ouest de l’artère seront, quant à eux, appelés à choisir l’un des six candidats cherchant à occuper le prochain mandat de député de Ville-Marie–Le Sud-Ouest–Île-des-Sœurs.
Mon Plateau les a tous invités à vous faire part de leurs priorités pour le quartier.
Notre site sera mis à jour au fur et à mesure que nous recevrons les réponses des principaux intéressés.
Nathe Perrone se présente sous la bannière verte dans Ville-Marie–Le Sud-Ouest–Île-des-Sœurs. Iel s’était présenté·e dans Bourassa, en 2021. Il s’agit donc de sa deuxième candidature pour le PVC.
Tout comme Marc Miller, Mx Perrone note la «crise nationale» du logement en premier lieu et souhaite prioriser «les personnes les plus vulnérables» dans sa lutte. Iel indique également que son parti souhaite mettre fin à l’itinérance en l’espace d’une décennie «grâce à des investissements stratégiques dans le logement non marchand, l’aide au loyer et une meilleure protection des locataires.»
Mx Perrone, qui œuvre comme responsable du travail communautaire au YMCA Centre-Ville, voudrait également voir un gouvernement plus à l’écoute des organismes communautaires et qui leur offrirait un financement bonifié.
«Il faut une approche plus ancrée dans la réalité, connectée aux enjeux du terrain», affirme-t-iel.
Cellui qui a cofondé BESA, un OBNL se portant à la défense des animaux, compte en faire autant à Ottawa, notamment par la création d’un ministère du Bien-être et de la sécurité animale.
Iel propose aussi de légiférer en ce sens, afin de «reconnaître les animaux comme des êtres sensibles». Des mesures incitatives seraient mises en place pour encourager les agriculteurs à transitionner vers des pratiques «durables à base de plantes» et les tests faits sur les animaux seraient progressivement abolis. Sur ce dernier point, le gouvernement financerait la recherche de solutions de rechange «éthiques et sans cruauté».
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